Notre histoire
Le Château de Sérame est situé à Lézignan-Corbières,
en Languedoc, dans un environnement naturel préservé, bordé par l’Aude et le Canal du Midi, aux confluents de deux appellations : Corbières et Minervois. Cette ancienne seigneurie, propriété de la Famille d’Exéa depuis plus de deux siècles, est fondée sur les bases d’une villa gallo-romaine
Notre histoire
Aujourd’hui, c’est l’arrière-petite fille d’Anne d’Exéa,
qui assure la direction de la propriété.
Fille de Christian Gaffinel, ingénieur agronome et entrepreneur, Anne Besse est héritière de l’esprit d’entreprise enraciné dans la famille.
Avec ses deux sœurs Coralie, et Marie-Catherine, ainsi que son frère Bertrand, ils forment la cinquième génération à veiller sur le domaine et comptent bien apporter à leur tour leur pierre à l’édifice.
Sous leur impulsion, le Château, dont les vignes ont été certifiées bio en 2013, s’engage désormais dans un nouveau modèle d’écologie intégrale.
prendre en compte le vivant dans sa globalité
Préserver, soigner et établir un nouveau mode d’interactions
plus harmonieuses entre l’homme et la nature, pour permettre à la terre de produire ce qu’elle a de meilleur. Notre objectif est de s’inscrire dans un mode de production durable, donc viable, économiquement performant, mais équitable, porteur de développement humain et respectueux de l’environnement, c’est-à-dire vivable.
établir un nouveau modèle de développement
Pensé pour les générations qui nous suivront
Un modèle qui puise à la source des savoirs traditionnels et profite des plus récentes avancées technologiques.
Nous mettons en œuvre une gestion globale qui prend en compte tous les paramètres du vivant, l’ensemble des éco-systèmes, sol, sous-sol, faune et flore, et nous déployons une panoplie de techniques aptes à redessiner le territoire.
agir à plusieurs niveaux pour
Maintenir à travers le temps un stock important de « capital naturel »
Objectifs :
- Diminuer les pressions sur l’environnement en réduisant par exemple les émissions de gaz à effet de serre, en limitant le recours aux intrants (produits phytosanitaires…),
- Préserver les ressources naturelles, en utilisant au maximum la nature comme facteur de production, et ce, en maintenant ses capacités de régénération.
- Réintroduire de la diversité végétale pour renforcer le rôle de la biodiversité et restaurer les écosystèmes
- Restaurer une mosaïque paysagère en diversifiant les cultures, en allongeant les rotations, en implantant des infrastructures agroécologiques,…
Préserver et soigner, pour
Permettre à la terre de produire
ce qu’elle a de meilleur.
Pour le plus grand bénéfice
de la vigne et du sol.
Et donc, bien sûr, du vin.